A peine un mois de boulot et déjà l'impression d'être dépassée.
Pas envie de me laisser bouffer.
Alors je reprends doucement le chemin du dimanche sauvé, sur une idée de la jolie Laurie.
D'abord, j'ai pris le temps de me reposer. J'ai corrigé un peu, et bouquiné beaucoup. Je suis en plein dans La mort du roi Tsongor (que je n'avais jamais lu, shame on me), et je me régale. Et on s'en fout si à 10h, les volets de la maison ne sont pas ouverts.
Ensuite, j'ai bossé, certes, mais au soleil, s'il vous plait. Fenêtres grandes ouvertes, l'air doux qui réchauffe, et la terrasse pour se débarrasser du boulot de la journée. Et un bon thé, of course!
Sauver son dimanche, c'est aussi choisir les priorités. C'est préférer se consacrer au projet théâtre, plutôt qu'au reste. Et tant pis si le deuxième paquet de copies reste dans le sac.
Enfin, j'ai enfin pris le temps de ranimer ce blog, qui survit grâce à un ou deux billets par mois, par l'écriture de plusieurs billets dans le week-end. C'est l'occaz' de faire le bilan du mois, de réfléchir à la photo du lundi, et de renouer avec le rendez-vous du dimanche que j'apprécie. Et tant pis si ce ne sont pas des billets sur mes lectures, ou hautement intello!
Vous l'aurez compris, ce billet c'est un moyen de me détendre, et de prendre mon temps, comme le prône si bien mon amie Stéphie sur son blog.
Et la journée n'est pas finie.
Je file me faire un nouveau thé et savourer la douceur de cet après-midi qui se poursuit. Et tant pis si, dans la maison, c'est le bazar, et si la vaisselle n'est pas faite.
Tu as bien raison, j'ai sauvé mon dimanche in extremis avec une bonne petite salade améliorée et un croque-monsieur maison...parce que c'était plutôt morose avec une petite crève qui met bien k.o.
RépondreSupprimerMais oui le dimanche c'est sacré! Je finis par m'en convaincre aussi !
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