@Leiloona
Mon souffle s'accélère, rythmé par la cadence de mes pas qui gravissent les derniers mètres. Ultime effort.
La vue est imprenable. Le vent cingle mon visage. Frôler le ciel de coton.
Et puis il y a toi. Toi à la plus haute fenêtre de la plus haute tour.
Ton visage pâle, ton sourire triste, tes yeux sombres. Ta vie de captive.
Vaine envie de te délivrer.
J'imagine la douceur de ta peau, ton parfum sucré, et la caresse de tes cheveux sur tes épaules.
Je veux laisser le vent m'enivrer de toi une dernière fois ; toi dont je ne sais rien, à peine un prénom crié un jour derrière toi.
Rosalia.
Ton prénom murmuré s'envole et meurt au milieu des nuages.
Mais ce matin la fenêtre est close. Silencieuse.
Je t'attends.
Le bateau va partir.
Te montreras-tu?
Pffiou!! Cette semaine, ce fut rude!!
J'aime. C'est légèrement triste mais d'une grande douceur.
RépondreSupprimerMerci ma Stéphie.
SupprimerTon avis m'est précieux.
c'est bien beau !! romantique , j'espère une fin heureuse à cette aventure- un léger retard mais l'histoire se finira heureusement- ?
RépondreSupprimerbonne semaine- amitiés -
Merci!
SupprimerJe n'envisage pas de suite, mais sait-on jamais...
Toi aussi, tu nous plonges dans un conte ce matin
RépondreSupprimerC'est un joli compliment que tu me fais. Merci!
SupprimerDe jolies formules, un texte tout en douceur...
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour tes jolis mots.
SupprimerCaptive, captivant le voyageur marin; arrivera-t-elle à se libérer?
RépondreSupprimerJ'adore ta formule!
SupprimerOui, y parviendra-t-elle? Mystère!
Magnifique, tu nous transporte très loin...
RépondreSupprimerMerci pour ce beau compliment!
Supprimersnif ...
RépondreSupprimerMyrtille http://lagazettedecitronbleu.eklablog.com
Oh, ben pourquoi snif?
SupprimerOn ne connait rien de la fin, hein...
Ce fut peut-être rude, mais le résultat en vaut la peine. :-)
RépondreSupprimerMerci!
SupprimerOui, je t'assure, j'ai séché un moment, et puis cette histoire est venue doucement.
J'avais envie de formules aux sonorités rappelant le vent et le mouvement des vagues...
qui est le captif de l'autre... j'aime cette ambiguïté !
RépondreSupprimerMerci!
SupprimerOui, moi aussi, j'aime bien ça!
Plus les semaines passent et plus je trouve que ton écriture s'affirme. Je suis fan
RépondreSupprimerMerci, merci, merci...
SupprimerJe n'en suis pas certaine, moi, mais j'ai envie de te croire.
Bisous!
Relis tes premiers textes, tu verras. Il commence à vraiment y avoir quelque chose qui fait que tes textes te réflètent, ont leur propre style. Tu es une des rares personnes que je prends un réel plaisir à lire chaque semaine
SupprimerMerci ma Stéphie.
SupprimerMoi aussi, je te lis chaque semaine avec bonheur.
Oui je partage l'avis de Stéphie et je trouve ce texte bien beau.
RépondreSupprimerMerci Sabine, c'est un joli compliment que tu me fais.
SupprimerEt comme j'apprécie toujours beaucoup ce que tu écris (Stéphie et toi avez dix fois plus de talent que moi!), ça me touche beaucoup.
Où as-tu vu qu'on avait plus de talent que toi ? N'importe quoi...
SupprimerParce que j'admire vraiment beaucoup ce que vous êtes capable de produire.
SupprimerC'est toujours très juste et très bien écrit.
Un monde de tristesse sou-poudré de douceur. Beau texte.
RépondreSupprimerJolie formule!
SupprimerMerci beaucoup.
Beau, court, efficace, touchant. Bravo!
RépondreSupprimerMerci Dan!
SupprimerQuel plaisir ça me fait de te voir ici un lundi, tu peux pas savoir!
Moi aussi, je trouve ce texte particulièrement réussi ! Produire dans la douleur semble te réussir ;-)
RépondreSupprimerJe vais finir par le croire...
SupprimerMerci miss d'être venue jouer les curieuses ici.
Cela me touche beaucoup.
Très joli texte qui rappelle des émotions passées ! Snif !
RépondreSupprimerMerci...
SupprimerDésolée d'avoir fait remonter des souvenirs, peut-être trop tristes.
Je réponds de nouveau en espérant que tu verras mes mots.
SupprimerJe n'ai pas pu laisser de commentaire chez toi (je ne sais pas pourquoi, mais je ne peux pas m'identifier si je n'ai ni compte twitter facebook, wordpress ou google +, alors que sur les autres blogs de la même plateforme ça fonctionne... mystère!), alors je te le dis ici :
Merci pour cette jolie fable, que je verrais très bien en album pour enfant!
Rude, tu dis ? Pourtant tu en as fait un texte très sensuel. Frissons ... j'adore.
RépondreSupprimerRoooh, merci Leil!
SupprimerC'est juste beau !
RépondreSupprimerMerci beaucoup.
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